Lyncia Cillia | Sheikah | 100%

Lyncia Cillia

PRÉNOM • Lyncia NOM • Cillia SEXE • Fille ÂGE • 17 ans GROUPE • Sheikah ORIENTATION S. • Hétéro MAGIE(S) • Feu ARME(S) • Petites dagues MÉTIER(S) • Un métier, moi? À moins que vagabonde en soit un, je n'en ai pas.

Mon caractère. Voilà une chose bien spéciale chez moi. Enfin, le caractère est spécial chez tout le monde, puisque chacun a son propre mental. Bref, le voici.
Je suis une personne assez calme, je ne suis pas une bout-en-train. J'ai souvent le regard fatigué, je n'ai pas l'air d'une personne qui bouge beaucoup malgré la réalité. Je suis souvent pensive, nostalgique mais également compréhensive. Tous ces critères peuvent être défauts ou qualités, mais certains, comme l'intelligence et la patience que je possède, sont des qualités. Cependant, je ne possède point que des qualités, car j'ai également certains défauts, comme la froideur avec laquelle je m'adresse aux autres - ce qui, je vous l'accorde, ne me fais pas beaucoup d'amis-, ou encore la curiosité. Certes cela peut être une qualité mais ça m'embarque surtout dans de folles histoires, qui ne sont malheureusement pas de mon côté. Mais savez-vous, toutes ces choses que je viens de vous dire n'agissent que lorsque vous êtes un inconnu pour moi. Mais même si il est rare de savoir faire de moi votre amie, cela arrive, et dans ce cas... Je suis complètement différente.

Je suis prête à tout pour les personnes qui me sont chères, que ce soit amis, famille. Je reste patiente, intelligente, compréhensive, mais moins pensive en la présence de proches. Il est difficile de me faire sourire, mais cela est tout de même plus facile quand vous me connaissez. Je suis une vraie tête de mule aussi, une fois qu'une idée me passe par la tête, impossible de me l'en enlever.

Et pour finir... Malgré que les Hyliens n'avaient sois-disant pas éliminé ma race exprès, je reste froide envers eux, et j'évite de les apprécier et de les côtoyer, malgré le temps...

Je pense ne pas manquer de charme, tout d'abord grâce à mes yeux et mes cheveux s'accordant à merveille. En effet, mes yeux miel aux cils longs noirs ne manquent pas de ressortir et de se faire remarquer, au milieu d'une chevelure rouge feu, rouge flamme; rouge... Sang. Une chevelure assez étrange en tous cas, car par l'avant elle est courte, m'arrivant jusqu'aux épaules, mais à l'arrière elle descend bien bas, jusqu'au bas du dos je dirais, peut-être même plus bas.
Mais là ne sont que mes premières caractéristiques, car mon visage simple et fin ne manque pas de défauts et de qualités. Commençons par ces premiers, les défauts certains de mon visage. En effet il y en a, certains plus visibles que d'autres: par exemple, souvent quelques griffes, quelques blessures par-ci, par-là, mais sans en venir aux cicatrices comme certains. Par après vient la sécheur de ma peau assez basanée. Car oui, ma peau qui, à première vue pourrait avoir l'air douce comme celle d'un nouveau-né, ne l'est pas tellement. Certes elle n'est point comme la pierre, mais elle n'est pas non plus telle que du coton. Mais mon visage n'a quand même pas que des défauts, il possède également quelques qualités, comme celle d'être fin et expressif. Venons-en aux éléments de mon visage, en comptant mes cheveux et mes yeux vifs, brillants et réfléchis déjà présentés. Je possède un nez et une bouche, comme tout être vivant digne de ce nom. Mes lèvres formant ma bouche sont assez fines, plus beiges. Mon nez, quand a lui, n'est pas crochu comme les sorcières dans les comptes d'enfants, mais petit et fin, visible mais qui ne forme pas une tâche sur mon visage. Des oreilles, j'en ai également, évidemment. Elle sont fines et pointues comme beaucoup d'habitants d'Hyrule, mais restent normales, et ne sont pas géantes.

Je suis ne suis pas très grande, mais disons que je ne suis pas petite non plus. Ma taille est normale pour mon âge et ma race, bien que certaines personnes sont plus grandes ou plus petites que moi, c'est normal. Par contre, niveau poids, je suis certaine d'être mince. Je ne suis pas squelettique, mais que ça soit dans mon ventre ou mes cuisses, je suis mince. J'ai de longs bras, et de longues jambes - mais de nouveau, la taille qu'elles me donnent reste dans la moyenne. Mes doigts sont fins et mes ongles légèrement plus clair, pas très longs, sinon ils me dérangent, ou se cassent.

Vestimentairement, je possède des habits dans le même genre que tous les Sheikah restant. Décrivons-les de haut en bas... Pour commencer, je possède une cape noire dessinée de lignes blanches et du signe des Sheikah en rouge sur le dessus qui recouvre ma tête, et qui est enroulée autour de mon cou. Par la suite, j'ai un pull, un gilet, appelez-ça comme vous le souhaitez, noir, gris et collant pour ne pas me déranger dans mes mouvements. Cependant, les manches de mes deux bras sont à moitié transparentes, parcourues de lignes noires. Une sorte de voile noir est accroché du dessous de mon bras, à ma main, plus précisément à mon doigt, le majeur. Ses deux côtés sont reliés par une pierre au signe des Sheikah. Mais passons à la suite. J'ai une ceinture au niveau de la taille, assez large et de couleur dorée. Comme vêtements de dessous, je possède un short assez long qui m'arrive au-dessus des genoux, et une sorte de jupe plus longue, m'arrivant ou milieu du tibia, elle est coupée de sorte à ce que je puisse marcher librement sans tomber à chaque fois que je cours. Ainsi, aussi, mes jambes sont visibles. Mes pieds sont chaussés de bottes hautes, brunes foncées presque noires, à talon. De petits talons bien sûr, sinon je ne saurais pas marcher.

• PROLOGUE •
Tout a un commencement, n'est-ce pas? Ma vie en a un, elle aussi. C'est normal.
Dans mon cas, tout a commencé dans la région d'Ordinn, à Cocorico. Toute petite déjà, j'étais fort silencieuse, et je réfléchissais beaucoup. Sur rien en particulier, en fait. J'étais une jeune fille sage, qui écoutait ses parents et qui ne commettait que très rarement des bêtises. J'aimais beaucoup me balader dans le village, et m'occuper de certains animaux. En fait, mes parents avaient quelques animaux, tel qu'un cheval et des cocottes, inoffensives si on ne les perturbait pas.
Ma douce enfance était vraiment un endroit de rêve. Un endroit de rêve dans lequel j'allais sans doute me réveiller un jour.

• CHAPITRE PREMIER • Tout le monde meure un jour.
Je devais atteindre les 7 ans, plus ou moins. Mon père était malade, on ne savait pas trop de quoi, et nous n'avions pas assez d'argent pour faire venir un grand médecin digne de ce nom. Sa maladie état longue, et il souffrait beaucoup, en plus... À chaque fois que je le voyais, il me disait que ça allait, qu'il allait bien et que tout allait s'arranger. Je le regardais, les yeux légèrement brillants de larmes.
Puis il y eut ce fameux matin, un ou deux mois après qu'il fut contaminé... Il mourut. Je
Pleurai sa mort, et ce moment resta marqué dans ma mémoire. Cet événement me renferma encore plus, et je ne restais que très rarement en compagnie des autres enfants. Mon seul réconfort était ma mère et les animaux. Avant cela, j'étais bien plus proche des autres personnes de mon âge, mais c'est à ce moment que je commençai à être enfermée dans le passé...

• CHAPITRE SECOND • Il est temps de se réveiller.
J'avais 10 ans, cela fait donc 7 ans maintenant. Depuis la mort de mon père, je passais de plus en plus de temps à faire ce qu'il faisait avant: vendre divers produits bon marché afin de gagner notre vie... Ma mère était boulangère, je vendais donc souvent son pain, et c'était d'ailleurs le cas ce jour-là. Je me dirigeais vers une maison voisine, une personne que nous connaissions bien et qui prenait du pain tous ces jours-là de la semaine y habitait. Je montai les marches afin d'atteindre sa maison, quand j'entendis des claquements de sabots... Je tournai mon regard vers l'entrée du village... Je vis apparaître des Hyliens, armés - à mon plus grand mécontentement. Au début, je pensais qu'il ne s'agissait que d'un malheureux malentendu. Qu'il y aurait des monstres dans les alentours et qu'ils seraient venu pour ça... Mais quand je vis des flèches dans la direction des villageois, et dans la mienne, entre autre, je commençai à stresser, assez grandement.
Je commençai à fuir, allant dans la direction de ma maison... J'entrai rapidement dedans, et je vis ma mère. Précipitamment, je lui dis qu'il fallait fuir... Elle ne voulait pas, elle, abandonner tous les villageois, mais il le fallait, malheureusement, pour notre survie... J'entendais dehors des cris et des pleurs... Moi-même, je tremblais, et je pleurais... Mais il me fallait rester calme afin de faire les choses correctement et dans l'ordre! Il fallait que je rassemble quelques vivres si nous ne trouvions pas un endroit où en avoir en partant. Ma mère était allée ouvrir l'enclos de nos animaux pour qu'ils puissent fuir, eux aussi; car, même si ils n'était pas visés, un mauvais coup pouvait toujours arriver... Sac sur l'épaule droite, je sortis de chez moi par derrière et rejoignis ma mère. Les Hyliens... Que faisaient-ils? Peut-importe, dans tous les cas, ils nous décimaient. Lorsqu'ils nous aperçurent derrière chez nous, ils commencèrent à nous attaquer à coups de flèches aussi... Et...
Ma mère fut touchée. En plein cœur. S'ensuivit notre maison qui brûlait suite à des flèches de feu... Je courus vers ma mère, pleurant toutes mes larmes... Je n'avais que 10 ans. 10 ans! Mais elle était là, par terre, articulant des derniers mots: Pars, Je t'aime, ma chérie. Je le blottis contre elle, puis la déplaçai, enfin... Son corps, vers un endroit abrités des flammes. Je lui pris son écharpe noire, seul souvenir d'elle que je pouvais encore avoir... Je regardais, désespérée, ma maison brûler. Heureusement pour moi, la fumée qu'elle dégageait le rendait invisible aux Hyliens, malgré mes toussotements...
Et maintenant, par où je vais? À pieds, seule, à 10 ans? J'aperçus au loin des corps à terre. Des enfants, parfois plus jeunes que moi, des personnes âgées... Et je me remis à pleurer de plus belle, courant vers la sortie du village avec l'espoir de sortie en vie de mon village tant aimé... Mais mon amour pour mon cheval me fit retourner en arrière en l'apercevant... Il était contre une maison, reculé derrière des poutres tombées des maisons. Je courus vers lui, recevant une flèche au bras, m'écroulant par terre. Mais me relevai. J'escaladai les poutres encore chaudes mais plus enflammées, et montai sur mon cheval juste derrière. Il avait peur, je le sentais... Mais, avec des encouragements discrets, je lui ordonnai de sauter par dessus les poutres, ce qu'il finit par faire, nous sortant ainsi de ce cauchemar...
Nous réveillant à la triste réalité: les Sheikah furent éliminés.

• CHAPITRE TROISIÈME • Et après?
Mon cheval galopais, fendait l'air tandis que mes larmes quittaient mes yeux pour rejoindre la terre ou le ciel... Je ne regardais plus par où j'allais, je fuyais, c'est tout... Mon cheval me guidait maintenant, tout simplement. Je m'arrêtai après plusieurs minutes qui me parurent infinissables, et me retournai. De la fumée sortait de mon village, bien visible haut dans le ciel...
Je descendis de mon cheval, nous emmenant dans un coin d'ombre afin de se reposer un peu. Les événement qui venaient de se passer me laissais froide, triste, tremblante. Et je voulais ne pas y croire. Je pensais encore être dans un rêve, mais j'avais beau me pincer, je n'en sortais malheureusement pas...
Je vagabondai quelques jours dans la Plaine en mangeant les vivres pris de chez moi. J'étais tellement déprimée que je n'avais plus la foi de vivre... Enfin, sauf ce jour, où passa une paysanne assez âgée. Elle me regardais, moi, qui avait les yeux mi-clos... Puis, elle le réveilla et me dit de la suivre, moi et mon cheval.

• CHAPITRE CINQUIÈME • Merci.
La vieille dame m'avait recueillie alors que je voulais partir de ce monde, je ne lui en serai jamais assez reconnaissante. C'est bien la seule Hylienne que j'admets au sein de mon cœur, fortement détruit le jour où tout avait basculé. Ma plaie, que je m'étais faite au bras à cause d'une flèche, s'était enfin refermée, car j'avais eu beaucoup de chance: elle ne s'était pas infectée. La personne l'ayant recueillie habitait dans la plaine d'Hyrule même, peu loin de la Citadelle. Je vivais mieux que pendant ma "promenade en pleine d'Hyrule", mais la tristesse me serrait toujours le cœur. Et il fallait que je parte, malgré moi.
Elle ne vivait pas seule, heureusement, donc je n'eus pas trop, trop de difficulté à partir. Elle comprenait mon choix, et j'étais tout de même rester 4 ans chez elle. La personne habitant à ses côté était son fils, son mari décédé quelques années auparavant. Il m'avait appris à utiliser des dagues, et m'en avait même offerte 4 pour que je sache me défendre. Lui aussi, je ne l'oublierai jamais.

• EPILOGUE • Fin.
Voilà maintenant deux ans que je vis seule en me nourrissant de ce que je peux, seule avec mon cheval... Je cherche par tous les moyens de me venger des Hyliens ayant détruit mon village, même si je sais que ce n'est pas le bon choix... Je ne les aime plus, sauf deux.
Et maintenant, ... Maintenant. Me voilà. Moi. Lyncia Cillia. Vous connaissez mon histoire.

PRÉNOM • Appelez-moi Bloody! :3 SEXE • I am a girl! ÂGE • 12 ans! c: DOUBLE-COMPTE • Aucun! :3 VOTRE PRÉSENCE SUR LE FORUM • 7/7j normalement. COMMENT AVEZ-VOUS TROUVÉ LE FORUM • Je regardais des commandes sur Epicode, j'ai vu une commande pour ici, j'ai tilté en voyant le mot "Triforce", en tant que grande fan de Zelda, et me voilà! 83 AUTRE • Vive Zelda! ♥